Forum Triumphall

Circuits & Rallye => Rallye routier => Discussion démarrée par: guillaumev le 18 octobre 2016 à 14:26:04

Titre: Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 18 octobre 2016 à 14:26:04
Tu ne veux pas laisser ta femme seule pendant 10 jours!
Ta femme n'a pas confiance, elle ne veut pas te laisser traîner avec des cuis-moustaches pendant cette période!
Vous vous êtes bien amusés pendant la montée du col de la Croix Saint Robert pendant vos dernières vacances en Auvergne!

Voici la solution:

Le rallye routier à deux! :blink:

http://www.moto-net.com/article/le-moto-tour-de-gregory-roblin-et-andrea-huau-vainqueurs-de-la-categorie-duo.html

Nouvelle catégorie du Moto-Tour cette année: le duo.

Bonne nouvelle: le couple vainqueur roule en Street Triple au quotidien. :super:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: LéoT3 le 18 octobre 2016 à 16:50:16
C'est dans cette catégorie que Laurent Cochet a fait le Moto Tour cette année.
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 18 octobre 2016 à 17:01:35
C'est ça. :)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 18 octobre 2016 à 18:04:51
En XR!...  M & Mme Seeli vont pouvoir postuler en 2017!...   :wink:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 18 octobre 2016 à 21:52:05
 :lol: :lol: :lol:

(http://www.moto-net.com/sites/default/files/images/photos-articles/2016/sport/moto-tour/moto-tour-roblin-huau-02.jpg)

En voyant la position des pieds du gars, je me suis dit: "lui il va finir comme Seeli s'il met un peu plus d'angle!"  :mrgreen:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 19 octobre 2016 à 10:28:47
En XR!...  M & Mme Seeli vont pouvoir postuler en 2017!...   :wink:

Je vais lui en parler.  :mrgreen:

En voyant la position des pieds du gars, je me suis dit: "lui il va finir comme Seeli s'il met un peu plus d'angle!"  :mrgreen:

Oui mais moi je mets bien la pointe des pieds sur les cale-pieds.... sauf quand ça glisse.  :oops:  :lol:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 19 octobre 2016 à 10:43:37
 :lol:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 19 octobre 2016 à 10:55:12
Plus sérieusement, je viens d'en parler à Mme, elle est grave partante. (Le contraire m'aurait étonné  :mrgreen: )

Il faut que je regarde les conditions d'inscription pour 2017.  :)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 19 octobre 2016 à 11:23:19
Ayé!...  Ca va être encore de ma faute!...   :lol:   :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 19 octobre 2016 à 11:35:21
"Bonjour Mme Seeli et Mr Seeli, qu'est ce qui vous a poussé à participer au Moto Tour en duo ?"
"A cause d'un canard qui roule en MTS DVT.... rouge en plus.  :evil: "

 :mrgreen:

Bon, cela dit, j'ai beau regarder sur le site du Moto Tour, y'a bien les conditions d'inscription pour 2016, mais seulement les Solo. Du coup, j'ai aucune base de réflexion pour l'année prochaine.

De plus, il faut prendre en compte l'assurance de la pétoire. Parce que là, faire un rallye routier sur route fermée, avec des chronos, c'est pas du tout la même salade qu'être sur route ouverte en balade. Question conditions, on sort clairement du cadre des contrats standards.

J'en veux pour preuve la mésaventure d'un ami avec sa sportive (Voiture hein), avec laquelle il participait à des rallyes en tant que simple ouvreur (la voiture numérotée 00 qui passe avant tous les concurrents pour statuer sur l'état de la route), donc non chronométré et non classé.

Il a fait une sortie de route, sans bobo pour lui et le passager, mais la voiture était bonne pour la casse. Le souci, c'est que son assurance n'a JAMAIS voulu le rembourser, alors qu'il était bien tous risques et les organisateurs du rallye en question ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour le dédouaner et l'aider dans sa bataille avec l'assurance.

Cette dernière n'a rien voulu savoir, elle a considéré qu'il avait eu son accident dans le cadre d'une manifestation sportive, donc qu'il était non couvert. Point à la ligne.

D'où ma frilosité à ce niveau. Si on se lance avec Mme, je vais me bien me border à ce niveau. Et si y'a ne serait-ce que l'ombre d'un doute, ce sera no way pour la participation. J'ai eu un grave accident de la route, je sais pertinemment combien il est important d'être parfaitement couvert, que ce soit la machine, mais surtout pilote et passager.
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 19 octobre 2016 à 15:32:32
Il y a des spéciales sur piste en plus,  :lol: donc, le Slip devrait facilement pouvoir te rencarder la dessus, mais une assurance spécifique doit être indispensable en complément de ton contrat standard qui te couvrira en liaisons!...   :wink:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Rom1s le 19 octobre 2016 à 21:23:51
Sur son site lla FFM propose une licence "une manifestation" pour le Moto Tour :
http://www.ffmoto.org/download/tarifs-licences_2015/A570CA0F-5F8EA863-00E4CB4F-827E7485 (http://www.ffmoto.org/download/tarifs-licences_2015/A570CA0F-5F8EA863-00E4CB4F-827E7485)

Moi je trouve que c'est une super initiative cette catégorie Duo, en plus le passager est un vrai copilote pour aider à gérer la Nav, le timing, etc...
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 20 octobre 2016 à 08:50:07
Moi je trouve que c'est une super initiative cette catégorie Duo, en plus le passager est un vrai copilote pour aider à gérer la Nav, le timing, etc...

Ah, ca sert à ça un copilote ?  :blink:

Je croyais que c'était pour dire des trucs du style "virage, 2, 100m, se resserre", "tu veux pas les doubler, on se fait chier là", "haha, tu as fait une goutte d'eau", ou "faut qu'on s'arrête, je dois faire pipi".... (Parce qu'en tous cas, c'est ce que me dit Mme dans l'intercom  :lol: )
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 20 octobre 2016 à 11:08:30
[...]
Bon, cela dit, j'ai beau regarder sur le site du Moto Tour, y'a bien les conditions d'inscription pour 2016, mais seulement les Solo. Du coup, j'ai aucune base de réflexion pour l'année prochaine.
[...]

1790€?

www.moto-tour.com/le-moto-tour-en-duo/
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 20 octobre 2016 à 11:33:09
Ecoute, je n'ai pas dû chercher au bon endroit sur leur site bordélique, mais effectivement, c'est l'info que je voulais.

Merci  :wink:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 03 novembre 2016 à 10:27:40
Ca donne  - presque - envie.

https://youtu.be/WrwFC8MhVYE
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Jim le 05 novembre 2016 à 23:14:41
Episode 2 : Chapeau la passagère

https://www.youtube.com/watch?v=gDkk9SjBQL4

Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 04 juin 2019 à 17:17:17
Nécro-réanimation de sujet  :mrgreen:

Je pose ça là :

https://ramp-mauves.com/ (https://ramp-mauves.com/)

https://www.rallyes-routiers.com/2017/04/06/championnat-de-france-des-rallyes-routiers-a-deux-cest-mieux/ (https://www.rallyes-routiers.com/2017/04/06/championnat-de-france-des-rallyes-routiers-a-deux-cest-mieux/)

 :siffle:  :)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 04 juin 2019 à 18:07:30
Vous êtes inscrits ?  :(
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 04 juin 2019 à 19:02:31
C'est en cours.

Avec le soutient de KTM France  :wink:

On fera un seul rally, celui des Coteaux (Ardèche)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 04 juin 2019 à 20:49:17
Yeah! :super:

Arrête de faire de la merde!
Tu roules comme un naze!
Laisse moi le guidon, j'irai plus vite que toi!
Elle a rien dans le sac cette moto!


 :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 04 juin 2019 à 20:56:10
 :lol:

Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: fifi.38 le 04 juin 2019 à 21:04:42
C'est génial.  :applause:
Pour une fois que le  SDS  peux  participer .
Il y a énormément de couple qui roule en  duo et qui se  retrouvent spectateurs.
Très belle initiative  :(
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: grey le 04 juin 2019 à 21:20:03
C'est en cours.

Avec le soutient de KTM France  :wink:

On fera un seul rally, celui des Coteaux (Ardèche)
vous feriez jour et nuit ou seulement le jour?

Bel exemple que mon pote Grégory et Andréa... C'est vrai qu'ils envoient du steak!

Grey & peut-être supporter....  :(
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Wile le 04 juin 2019 à 23:13:05
 :applause: :applause: :applause:

 :wink:
Titre: Re : Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 05 juin 2019 à 08:29:24
vous feriez jour et nuit ou seulement le jour?

Très bonne question qu'on s'est posé. Pour le moment, ce ne serait que de jour  :)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Guilbar le 05 juin 2019 à 09:10:44
Génial Mme & Seeli  :super: :applause:

J'ai des potes qui pratiquent le rallye routier moto donc si tu as besoin de quelques "astuces" pour démarrer, n'hésites pas !  :wink: 

Et je confirme, la nuit c'est vraiment une épreuve à part, pour le pilote mais aussi pour la préparation nécessaire sur la machine !
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: guillaumev le 05 juin 2019 à 09:50:27
Sur le forum, notre "spécialiste" reste Superman. :wink:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: grey le 05 juin 2019 à 21:15:58
Génial Mme & Seeli  :super: :applause:

J'ai des potes qui pratiquent le rallye routier moto donc si tu as besoin de quelques "astuces" pour démarrer, n'hésites pas !  :wink: 

Et je confirme, la nuit c'est vraiment une épreuve à part, pour le pilote mais aussi pour la préparation nécessaire sur la machine !

Heu... je dirais appuyer sur le bouton....  :mrgreen:

Grey & vrooooom :arrow: :arrow: :arrow: :arrow: :arrow:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Raims le 06 juin 2019 à 10:02:26
 :super:  super ça Seeli
Et avec une "moto d'usine" en plus  :wink:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 06 juin 2019 à 10:18:34
Ce sera probablement une Super Adventure 1290 S  :)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Raims le 06 juin 2019 à 10:55:35
Tu préfères un trail plutôt qu'un roadster?
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 06 juin 2019 à 10:59:16
Oui, parce que capable de mieux "absorber" les différentes typologies de routes  :)

Et d'aussi loin que j'ai pu tester lors du meeting, la 1290 SAS en mode "Sport", en duo, ça fait le job  :wink:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: PierrotGAZ le 06 juin 2019 à 11:03:49

Et d'aussi loin que j'ai pu tester lors du meeting, la 1290 SAS en mode "Sport", en duo, ça fait le job  :wink:

mouais... bof....  :roll: 


 8) 8) 8)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 06 juin 2019 à 11:17:16
Si si!...   8)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: tyoc le 06 juin 2019 à 13:52:08
Purée, Seeli pilote usine.  :blink:  :blink:

D'ici 6 mois, il prend la place de Zraco.  :mrgreen:
Titre: Re : Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 06 juin 2019 à 14:08:44

Et d'aussi loin que j'ai pu tester lors du meeting, la 1290 SAS en mode "Sport", en duo, ça fait le job  :wink:

mouais... bof....  :roll: 


 8) 8) 8)

 :lol: :wink:

Si si!...   8)

Nan mais t'inquiète Phil  :mrgreen:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 06 juin 2019 à 22:36:25
Purée, Seeli pilote usine.  :blink:  :blink:

D'ici 6 mois, il prend la place de Zraco.  :mrgreen:

Si c’est pour finir chez Honda, non merci  :mrgreen:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Crash man le 06 juin 2019 à 22:53:57
D'ici 6 mois, il prend la place de Zraco.  :mrgreen:

C'est qui c'lui-là ? un pote d'Olivier Marchal ?  :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Wile le 07 juin 2019 à 08:57:51
 :blink:

Chariot de réa pour Crash man, on est en train de le perdre !!!

 :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 07 juin 2019 à 09:47:14
Il lui faut un électro-choc : "Le 2 temps ça pue et ça ne sert à rien"  8)

Ca devrait faire le job  :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 07 juin 2019 à 10:39:16
Ca devrait suffire!...  8)

(https://www.roadracingworld.com/RFS/Images/2017/01/13/b2ff7257-dbef-467d-a67c-c8f41ea7cbaa.jpg?size=630)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Crash man le 07 juin 2019 à 16:05:17
Rhaaaaa :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile::smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :smile:  j'aime assez ...  :wink:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Labrador le 07 juin 2019 à 18:06:09
Crash si ça c'est pas de l'AMOUR je n'y connais rien, tu débordes de sentiment pour le 2 temps.

On dit toujours en 2 temps et 3 mouvements.  :mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Phil 38 le 07 juin 2019 à 18:06:42
valà!....   :lol: :lol:  :mrgreen:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Raims le 07 juin 2019 à 23:32:45
On dit toujours en 2 temps et 3 mouvements.  :mrgreen:

Pour se foutre dans les graviers c'est à peu près ça oui  8)
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 14 août 2019 à 08:59:35
Projet annulé  :)
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: jpv42 le 14 août 2019 à 09:20:50
Projet annulé  :)
:mrgreen:
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 14 août 2019 à 09:35:11
 :wink:
Titre: Re : Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Raims le 14 août 2019 à 09:58:00
Projet annulé  :)

Pourquoi tu mets un  ":)" ?
Cela ne te plaisait pas finalement?  :|
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Krais le 14 août 2019 à 10:36:18
Visiblement, il y aurait comme qui dirait un changement au niveau du sponsor principale qui devait fournir la moto
Titre: Re : Dans la série: "c'est pas de ma faute, c'est ma femme!"
Posté par: Seeli le 14 août 2019 à 11:53:06
Le temps que nous avons est précieux, sans doute ce que nous avons de plus précieux même,  il est -  pour moi - hors de question de le perdre  :)

J'ai des ambitions à satisfaire  :wink: