la philosophie atomiste est différente de la physique atomique, l'une est qualitative l'autre quantitative, il n'y a pas de confusion possible mais depuis la compréhension de l'air et du sable, de la poussiere la question s'est posée.
Les philosophes ont eu le mérite de s’intéresser au sujet.
Pour les coupoles sur les murs en carré, les voutes ... il suffit de creuser et de vérifier empiriquement la notion d'arc de décharge (creusement de fosse, de souterrain) et de tenter de le reproduire (exemple : enfant jouant dans le sable) ... mais le changement d'échelle impose des calculs de résistance des matériaux
Il a fallu passer par l'invention du béton coulé, puis du béton précontraint pour s'affranchir de certaines limites, de formes, d'échelle, architecturales.
les découvertes allient fréquemment des choses connues depuis longtemps et l'ajout ou l'évolution d'un paramètre ou d'un petit nombre de paramètres.
liés au hasard ou fruit de la recherche méthodiques ces évolutions ne sont en fait qu'un reformulation du réel visible ou invisible (matière antimatière, champs de forces, gradients) existant depuis depuis 4.5 10^9 ans et appréhendé par l'hominidé depuis 4 10^6 ans
Alors, effectivement, c'est une longue histoire avec de longues périodes sans réel rapports circonstanciés des faits de l'époque, sauf des hypothèses anthropologiques, étayées d'observations géologiques.
C'est partiel et parcellaire, essentiellement lacunaire, comme la matière (parfois c'est aussi partial, c'est inhérent à la nature de l'observateur).